Ainsi en alla-t-il la semaine passée, par exemple, du jour anniversaire des Accords d’Evian signés le 18 mars 1962, qui « reconnaissaient l’indépendance algérienne liée au cessez-le-feu en Algérie (19 mars) et précisaient les conditions du référendum d’autodétermination (qui eut lieu le 1er juillet 1962). »1
1 Le Petit Robert des noms propres, édition 2016
Il se trouve que j’ai consacré, il y a quelques années de cela, un texte à la guerre d’Algérie. C’était à l’occasion de la présentation par Laurent Mauvignier, à la Literaturhaus de Munich, de son roman Des Hommes (deutscher Titel: Die Wunde, dtv premium, 2011). Je vous propose donc d’embarquer sous ma guidée dans la machine à remonter le temps pour un voyage dont vous reviendrez avec une idée de lecture qui plus est !
Chaque jour que le calendrier fait étant forcément la journée internationale/mondiale de ou sans quelque chose, le 28 février, qui aurait pu se contenter d’être – trois ans sur quatre – le dernier jour de l’hiver météorologique, ne saurait bien sûr faire exception à la règle. Oyez donc, braves gens ! Aujourd’hui, c’est la journée mondiale sans… Facebook !
Lorsque l’on découvre néanmoins que derrière cette initiative ne se cache nul autre que FB lui-même, la valeur du défi du jour s’effondre évidemment aussi piteusement qu’un soufflé au fromage sorti prématurément du four et l’on subodore le coup marketing…
Einer Frau durch galante Komplimente zu verstehen geben, dass man (Mann!) an ihr Gefallen findet, ist eine uralte Annäherungsstrategie. Rosas loqui (Rosen reden) wurde sie auf Lateinisch genannt. Im 16 Jh. bedeutete fleurettes aber auch dummes Zeug. Soviel zu der Ehrlichkeit der Schmeicheleien, die sich Frauen seit eh und je anhören müssen … Nicht ohne Grund wohnt der inzwischen etwas veralteten Wendung also Ironie inne.
Aventurière devant l’éternel – n’ai je pas quitté « le pays qui m’a donné le jour »1 pour m’installer dans une région « peuplé[e] d’irréductibles [Bavarois] qui résistent encore et toujours à l’envahisseur [fédéral] »2 ? –, j’ai inscrit un nouvel exploit à mon palmarès en ne renonçant pas en janvier dernier à me rendre à… Paris ! Paris où, à peine arrivée, j’ai parcouru 9 km aller-retour de la gare du Nord à la porte de la Villette (salon du Travail et de la Mobilité internationale)… pour me rendre compte après coup que le métro circulait à nouveau.
Je n’en ai pas moins été confrontée, dès le lendemain, aux opposants à la réforme des retraites. J’avais prévu d’aller voir l’exposition3 que le Louvre consacre à Pierre Soulages à l’occasion de son 100e anniversaire. Or, la CGT en avait décidé autrement, qui bloquait depuis le matin tous les accès au musée. Lorsque je me suis présentée vers midi, à l’entrée située sous la Pyramide, une quinzaine de membres (ou sympathisants) du syndicat étaient en train de « saucissonner » aurait dit ma grand-mère maternelle, un tableau des plus insolites que j’ai pris le temps de contempler – voir des tableaux, j’étais venue pour ça, après tout !
« Si point ne veut de blé charbonneux, mange des crêpes à la Chandeleur. »
Point n’est besoin à vrai dire d’être agriculteur pour obtempérer au dicton et sacrifier à cette savoureuse tradition ! Et si cette année, vous ne vous contentiez pas de vous lancer à l'assaut d’une montagne de crêpes mais en profitiez pour découvrir l’origine de cette coutume ? Allez, je vous ai mâché (!) le travail : en cliquant sur Figaro, vous saurez tout !
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