Je dédie cette citation à la Librairie allemande de la rue Sauton dans le cinquième arrondissement de Paris qui, en dépit des efforts que sa propriétaire, Mme Iris Mönch-Hahn, n’a pas ménagés, a fermé définitivement ses portes le 14 juillet 2017.
Je connais fort bien le “salon bleu” du Palais Seyssel d’Aix, siège de l’Institut français de Munich, pour y avoir assisté à maintes manifestations. Hier après-midi, je l’ai découvert sous un autre angle puisqu’à l’initiative du directeur de l’Institut, Monsieur Julien Thorel, je l’avais à ma disposition pour y présenter mon livre Bessersprecher Französisch – 150 Redewendungen für ein ausdrucksstarkes Französisch (Conbook Verlag, 2016). De là à me croire désormais sortie de la cuisse de Jupiter, il y a un pas que je ne franchirai pas. Qu’on se rassure donc, la tête que j’ai bien sur les épaules n’a pas enflé. D’humeur badine ce matin, j’enfile les expressions idiomatiques comme d’autres les perles. Il est vrai que c’est précisément le thème de l’ouvrage ci-avant évoqué.
Jedes Jahr gedenkt Frankreich des 6. Juni 1944, des sogenannten D-Day. 2006 gründeten die Gemeinden, auf deren Stränden sich die Landung der Alliierten – für Franzosen übrigens alles andere als eine Invasion! – ereignete, den »D-Day Festival Normandy« (http://www.ddayfestival.com/).
Depuis le 27 mai dernier, Colombey-les-deux-Eglises est en état de choc ! Ce jour-là en effet, un Toulousain de 38 ans s’est acharné sur la croix de la tombe du général de Gaulle au point que celle-ci s’est désolidarisée de son socle.