Que de neige ! Que de neige !
Quand la Bavière revêt sa robe immaculée…
Non, non, le titre de cette rubrique n'est pas une citation apocryphe* de Mac Mahon ! C'est de moi. Un manque d'inspiration valant bien le désœuvrement qui vous conduit à vous égarer sur cette page en ce 31 décembre.
Si votre taux d'alcoolémie vous permettrait encore de prendre le volant, vous aurez peut-être même remarqué que cette double exclamation se chante sur l'air de Que je t'aime de notre Johnny national – dixerunt les médias de ladite nation… Au lieu de secouer la tête devant la chute brutale de mes références – vous n'avez rien compris, c'est de l'éclectisme culturel, voyons –, vous feriez mieux de reprendre avec moi, histoire de vous chauffer la voix pour ce soir :
Que de neige, Que de neige, Que de neige, Que de neige, Que de neige, Que de neige ! Quand les nuages crèvent, Libérant leurs flocons…
Allez, je vous laisse. Pensez aux bonnes résolutions et évitez de les oublier d'ici demain !!!!!!!
*Pour vous éviter de feuilleter le dictionnaire aujourd'hui, voici la définition de cet adjectif – difficile à placer un soir de réveillon – telle qu'elle se trouve dans le Littré : “On qualifie d'apocryphe, un écrit dont l'authenticité n'est pas établie.“ La citation que j'ai attribuée à Voltaire dans l'une de mes dernières chroniques, l'était bien apocryphe puisque François-Marie Arouet n'aurait jamais dit ça. Il a en revanche écrit : Je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire. Merci à Sabine pour cette remarque !