Inattendu !
Tout comme le président de la République français est traditionnellement le candidat naturel à sa propre succession, il est d’usage que le chef d’un parti politique allemand endosse le costume de candidat à la succession du chancelier en exercice. Enfin, en principe car après que François Hollande a renoncé à demander aux Français de le confirmer pour cinq années supplémentaires dans les fonctions qui sont actuellement les siennes, ne voilà-t-il pas que Sigmar Gabriel, président du Parti social-démocrate, vice-chancelier et ministre de l’Economie et de l’Energie, lui emboîte le pas et ce, pour la même raison : une courbe de popularité en berne ?
Qui aurait cru que François Hollande donnerait jamais envie à quelqu’un de suivre son exemple ?!